Ces 5 aliments qui augmentent le risque d’AVC chez les femmes
Le type d’AVC le plus courant est l’AVC « ischémique ». Il est provoqué par l’obstruction d’un vaisseau sanguin qui alimente votre cerveau. De nombreux facteurs sont sans doute à l’origine de la surprenante augmentation du nombre d’AVC chez les femmes, notamment :
L’augmentation du taux d’obésité
Le tour de taille des femmes a augmenté de presque 5 cm au cours des 10 dernières années. Les carences en vitamine D dues à un manque d’exposition au soleil. Éviter le soleil augmente également votre risque de carence en sulfate de vitamine D, qui peut être une cause sous-jacente de formation de plaques d’athérome (un facteur de risque d’AVC)
La prévalence croissante de l’hyperglycémie (taux élevé de sucre dans le sang)
S’agissant des AVC (comme de la plupart des maladies), la prévention est clairement la meilleure des options, or votre alimentation joue à cet égard un rôle déterminant.
La liste des cinq aliments qui sont associés à une augmentation du risque d’AVC
La viande rouge
La viande rouge est un facteur de risque de survenir d’AVC. Ce n’est plus un mystère. Mais c’est une grave erreur que de mettre toutes les viandes rouges dans le même panier. Car les différences entre les viandes provenant d’élevages industriels, et les viandes biologiques, nourries à l’herbe, sont si importantes, qu’on parle pratiquement de deux aliments totalement différents. Le bœuf biologique nourri à l’herbe n’est généralement pas associé aux effets néfastes sur la santé du bœuf élevé industriellement. Mais très peu de chercheurs, et encore moins de journalistes, font la distinction entre les deux.
Le sel
S’agissant du sel, là aussi, ne pas tout jeter par la fenêtre. On ne peut pas comparer le sel raffiné utilisé dans les aliments transformés, au sel naturel et non raffiné. Le fait d’éviter les aliments transformés vous aidera à réduire votre risque d’AVC et à améliorer votre santé globale. Il est important de comprendre qu’il n’est pas nécessaire d’éviter tous les types de sel. Mais uniquement les sels transformés, comme le sel de table classique. Le sel naturel non raffiné, par contre, tel que le sel de l’Himalaya, est même très important pour de nombreux processus biologiques, notamment pour aider les parois des vaisseaux sanguins à réguler la pression artérielle. Ce qui est clairement un effet bénéfique, et non un effet qui favorise le développement de maladies.